Les violations des droits humains en Iran, comme les exécutions politiques et publiques, les lapidations et d'autres châtiments cruels, se sont multipliées depuis l'arrivée au pouvoir de Mahmoud Ahmadinejad.

Les violations des droits de l'Homme en Iran sont systématiques, institutionnalisées, répandues et légalisées dans le code islamique pénal. (Femmes)

On peut décrire ce genre de violations comme la suppression de toutes les formes de liberté d'opinion et d'expression, les arrestations arbitraires, l'incarcération des prisonniers de conscience, des procès inéquitables de prisonniers politiques, de torture et d'autres formes de traitement dégradants, cruels, inhumains et dégradants et des exécutions (souvent imposées et exécutées rapidement après des simulacres de procès).

Cette situation nous inquiète profondément, en particulier la montée des exécutions politiques. Des dizaines de prisonniers politiques risquent d’être exécutés.

Au cours du deuxième semestre de 2006, deux détenus politiques ont été exécutés après avoir été torturés. Dans cette situation, soutenir les victimes du régime en Iran est un devoir humain.

L'ingérence du régime iranien en Irak pour y instaurer un régime islamiste aux ordres de Téhéran a atteint de nouvelles dimensions, poussant les forces nationalistes et démocratiques ainsi que de nombreux religieux irakiens, chi’ites et sunnites, à exiger l'arrêt des activités iraniennes dans ce pays. Par ailleurs, les mollahs au pouvoir en Iran essayent, à travers une ingérence accrue au Liban, dans les territoires palestiniens et en Afghanistan, de mettre en danger les intérêts des peuples musulmans de la région et de fomenter la haine et des divergences entre les pays arabes et musulmans. L'objectif du régime iranien est d’établir d'un empire islamiste mondial. D’un autre côté, deux décennies de politique de complaisance, sous prétexte de dialogue, des pays européens en vue de changer l’attitude de l'Iran, menée parfois en relation avec des intérêts économiques et politiques, n'ont fait qu'encourager ce régime à réprimer sa population, à exporter le terrorisme et à accentuer son aventurisme régional. Dans ces conditions, une politique réaliste de la France serait de soutenir l’instauration de la démocratie et du respect des droits humains, ainsi que la garantie de la paix et de la stabilité régionales représentée par le Conseil national de la Résistance iranienne et sa présidente élue, Maryam Radjavi. Cette proposition rejette une solution belliqueuse tout comme la complaisance et préconise une troisième voie, celle d'un changement démocratique par le peuple iranien et sa Résistance organisée.

27 années de pouvoir intégriste .

• 120 000 exécutions politiques .

• 500.000 personnes torturées .

• Plus de 7 millions de personnes arrêtées .

• 30 000 prisonniers politiques massacrés en quelques mois en 1988 .

• 174 formes de tortures physiques et psychologiques .

• Des milliers de pendaisons publiques .

• Des châtiments barbares exécutés en public comme la lapidation, les amputations et les yeux arrachés .

• Plus de 2,5 millions opérations de la milice paramilitaire chaque année .

• 450 actes de terrorisme menés à travers le monde .

• 150 journaux et publications fermées depuis avril 2000 .

• 20 organes de répression pour contrôler la population .

• 16 milliards de dollars déversés dans le programme d'armes nucléaires .

• 7 millions de drogués .

• Le plus haut taux de suicide au monde : 20.000 tentatives de suicide par an .

• 80% de la population sous le seuil de la pauvreté

• Le plus haut taux de fuite de cerveaux au monde : les statistiques du FMI montre que l'Iran est en tête de 91 pays en voie de développement dans ce domaine. .

• 10 millions d'Iraniens souffrent de troubles psychiatriques à divers niveaux .

• Les deux tiers des femmes sont victimes de violences domestiques .

• 65% des jeunes entre 18 et 25 ans souffrent à divers degrés de dépression

No posts.
No posts.